Comment faisons-nous trace de nos expériences collectives ?
«Ce qui reste du mythe lorsqu’il est interrompu,
ce sont peut-être les voix de fragiles épopées minoritaires qui
nous apprennent à vivre dans un éternel chantier – étranger à
la paix des achèvements ultimes (qui ressemble sans doute trop
à celle des cimetières), mais toujours ouvert aux réagencements
que saura imaginer notre pouvoir de scénarisation.»